Vous êtes ici :
Accueil /
Actualités /
Archives /
Journées d'Animation Scientifique de l'AUF à Alger, 8-11 novembre 2009 : le géomaticien du Parc National du Banc d'Arguin reçoit le prix du meilleur poster
Journées d'Animation Scientifique de l'AUF à Alger, 8-11 novembre 2009 : le géomaticien du Parc National du Banc d'Arguin reçoit le prix du meilleur poster
Le 17/11/2009
L’évolution technologique et la diversité des satellites d’observation de la terre avec leurs instruments optiques et radars offrent à la communauté scientifique, aux gestionnaires et aux décideurs des moyens et des outils efficaces et durables pour résoudre les problèmes posés dans de nombreux domaines des sciences de la terre et de l’environnement. Dans ce cadre, le laboratoire de Traitement d’Images et Rayonnement de la Faculté d’Electronique et d’Informatique de l’Université Houari Boumediène d’Alger et le réseau de télédétection de l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) ont organisé les troisièmes Journées d’Animation Scientifique de l’AUF à Alger du 8 au 11 novembre 2009.
L'objectif de ces journées d’animation scientifique est de créer des liens entre les équipes de recherche en traitement d'images de télédétection et de faire émerger des thèmes particulièrement actifs. Ces thèmes sont liés aux spécificités des données de télédétection, aux méthodologies propres à l'observation de la terre et aux besoins applicatifs tels que : le contrôle et la gestion des ressources naturelles et la prévention et le suivi des catastrophes naturelles et leurs impacts sur l’environnement.
Le géomaticien du Parc National du Banc d'Arguin, Monsieur Mohamed Ahmed Ould Sidi Cheikh, invité à ces journées, y a présenté un poster intitulé « Spatialisation des activités de pêche au PNBA ». Ce travail, réalisé par l’observatoire du PNBA avec l’appui du projet RARES (FIBA), a reçu le prix du meilleur poster délivré par le comité scientifique du réseau télédétection de l’AUF. Il combine judicieusement les méthodes classiques de suivi statistique des pêcheries, la connaissance ancestrale de leur territoire par la communauté des pêcheurs Imraguen et l’utilisation des technologies nouvelles de télédétection, SIG et positionnement par satellite GPS.